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Book
Guérir et-ou soigner : quelle politique de formation pour quelle infirmière ?
Authors: ---
Year: 1992 Publisher: Louvain-la-Neuve : Université catholique de Louvain, Faculté ouverte pour enseignants, éducateurs et formateurs d'adultes (F.O.P.A.),

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Abstract


Periodical
Advanced studies in nursing
Author:
ISSN: 15580180 Year: 2003 Publisher: Somerville, NJ : Galen Pub.

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Dissertation
Évaluation de la formation continue en hygiène hospitalière du personnel soignant par e-learning
Authors: --- ---
Year: 2016

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Abstract


Book
Quels sont les besoins en formation continue et la représentation de l'éthique d'infirmiers responsables en soins généraux pour développer la pratique éthique ?
Authors: --- ---
Year: 2016 Publisher: Bruxelles: UCL. Faculté de santé publique,

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Book
Evaluation de l'efficacité de la formation continue relative à l'utilisation de la technique des transmissions ciblées dans le secteur des soins à domicile

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La problématique de la formation ou de l’enseignement aussi bien chez l’enfant que chez l’adulte réside dans la question de « l’évaluation de compétences ». En effet, l’objectif est clair : acquisition de compétences du formé par une méthode pédagogique. Or, en ce qui concerne le chois de la méthode, c’est déjà moins évident. On se retrouve devant une panoplie de concepts, théories, démarches pédagogiques, se basant tous sur leur propre philosophie. Chaque courant pédagogique base sa raison d’être surtout sur sa capacité de différenciation par rapport aux autres.
Ce vaste chois par rapport à la méthode par laquelle on veut enseigner le savoir, complique considérablement la mise en place d’un procédé, ou d’un moyen de vérification des compétences. D’abord qui doit évaluer : le responsable de formation, le patron, le formé lui-même, un organisme externe, les clients… ? Ayant trouvé une réponse à cette première question, on se retrouve devant le prochain nœud gordien. Quels sont les moyens d’évaluation, examen pratique théorique, projet, questionnaire… ?
Il est indéniable que l’organisation et la réalisation d’une évaluation, qui répons au maximum aux critères de l’objectivité et de la pertinence, est une affaire compliquée.
Chacun de nous peut se rappeler des situations à l’école, à l’université, au sport, dans la vie professionnelle, où il a reçu une évaluation considérée comme « totalement injuste et fausse ». Devant cette complexité de la matière, la motivation des entreprises d’investir de l’argent, des ressources humaines et surtout du temps dans l’élaboration d’une formation professionnelle continue reste limitée.
Souvent lors de la présentation du bilan, le responsable de la formation se contentera de démontrer le succès des programmes de formation en citant l’accroissement du nombre de participants, l’augmentation du budget ainsi que la diversification des possibilités de formation.
Toutefois lentement mais sûrement, face à la concurrence, la capacité intellectuelle des ressources humaines et leur motivation, sont de plus en plus considérées comme facteurs sur lesquels on peut encore agir localement.
Les entreprises ont reconnu que la formation professionnelle est un moyen puissant de ce domaine. Or si la formation professionnelle est en train de conquérir sa réputation en tant qu’outil managérial, elle doit se soumettre aux mêmes critères d’exclusion que tout autre projet d’entreprise. Il faut donc, que la formation se basera sur son utilité pour l’entreprise. Il faut donc, que la formation produise des résultats mesurables relatifs à la productivité de l’entreprise.
Désormais, le responsable de la formation devra justifier la mise en place d’une formation en vue d’une diminution du turnover du personnel, d’une augmentation de la satisfaction du client, d’une diminution des coûts de production,…
Le secteur des services de santé n’échappera pas à cette évolution. Il est aujourd’hui confronté à de multiples défis. La privatisation des services, la complexité accrue des soins, l’évolution démographique de la population ainsi que le manque de financement chronique des structures étatiques exigent de nous de nouvelles solutions. Il doit donc prendre ce bouleversement d’attitude par rapport à la formation professionnelle continue au sérieux.
Il s’ajoute que les hôpitaux et les organismes extrahospitaliers basent leur productivité quasi uniquement sur le savoir-faire de leurs ressources humaines. Il est donc absolument indispensable d’utiliser le peu de moyens le plus efficacement que possible.
Sans l’instauration d’une véritable politique d’évaluation, aussi de la formation professionnelle, les défis du futur seront encore plus difficile à surmonter.
Dans le cadre de l’application de la loi sur « l’assurance dépendance » et en vue de répondre aux conditions qui y sont énoncées, le Fondation « Hellef Doheem » fut crée en 2000 à partir de trois associations sans but lucratif provenant du secteur des services de santé. Lorsque j’au travaillé pour « Hellef Doheem », j’ai remarqué à quel point le recyclage des connaissances et des compétences est important aussi dans ce secteur. En effet, l’organisation des réseaux de soins à domicile ne se trouve qu’à son début et l’accumulation de savoir nouveau est énorme. Toutefois ce savoir ne sert à rien si on ne parvient pas à le faire appliquer de façon régulière par le personnel et les responsables.
Ceci ne peut se faire qu’à l’aide d’un bon concept de formation continue. Par conséquent comme le l’ai dit plus haut, je trouve qu’en tant qu’infirmier et étudiant en licence de sciences de la santé publique, il est absolument nécessaire de me familiariser avec le concept de la formation continue.
Dans ce contexte la Fondation a déjà depuis un certain temps entamé un programme de développement de la qualité. Parallèlement à ces réformes de structures (multiplication des centres d’aide et de soins, recrutement de personnel qualifié, leasing de voitures…) on a mis en route toute une procédure visant à réformer la philosophie de la prise en charge du client. Concrètement la Fondation a réalisé un projet avec l’Université de Witten-Herdecke dans l’intention de créer une documentation unique pour les différents services de la Fondation, afin que tout le personnel dispose d’un outil d’information et de communication efficace. Ces différents services sont : les centres d’aide et de soins, les centres de psychogériatrie, le service d’écoute, le téléalarme.
Cette nouvelle documentation unique sera accompagnée par un modèle de prise en charge qui prévoit une démarche de soins plus personnalisée et flexible auprès du client nécessitant une motivation, une responsabilisation ainsi qu’un gain d’autonomie accrue de la part de chaque membre du personnel. C’est-à-dire les chargées de direction, les coordinateurs, les infirmières, les aides soignantes, les aides seniors, aides socio-familiales, aides ménagères. Un processus d’une telle envergure se veut être bien préparé et organisé en différentes phase.
1. L’analyse (par interview individuelle et de groupe) était terminée aux alentours d’avril 2003.
-2. La construction de l’instrument était effectuée environ vers mai 2003 et septembre 2003.
3. La première implantation de l’instrument et la formation consécutive se faisait vers octobre-novembre auprès du personnel des quatre centres d’aide et de soins choisis.
4. L’évaluation : l’objectif de ce mémoire sera de faire l’évaluation de l’efficacité de la formation auprès de ce personnel des quatre centres d’aide et de soins dans le contexte d’une évaluation des compétences acquises en formation par rapport aux objectifs fixés et leur application sur le terrain. Cette évaluation sera réalisée après la fin de la formation pour permettre aux responsables de la formation d’avoir le temps d’organiser d’éventuels changements avant qu’elle ne soit élargie aux 15 centres restants.


Dissertation
Rôle spécifique et formation de base du personnel infirmier en psychiatrie institutionnelle
Author:
Year: 1978 Publisher: Liège : Université de Liège. Faculté de médecine (ULg). Département de clinique et pathologie médicales,

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Dissertation
Formation permanente de l'équipe de soins : nécessité ? ... pourquoi et pour qui ? premières données du comment
Author:
Year: 1985 Publisher: [S.l.]: [chez l'auteur],

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Book
Formations 1992.
Year: 1991 Publisher: Lyon : INFIPP,

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Dissertation
Contribution à l'étude d'une formation en éducation sanitaire dans l'enseignement supérieur paramédical de plein exercice et type court, section infirmier(e) gradué(e) hospitalier(e)
Author:
Year: 1976 Publisher: Liège : Université de Liège. Faculté de médecine (ULg). Département de clinique et pathologie médicales,

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Book
L'analyse des besoins de formation des infirmières pour la pratique des soins infirmiers en santé communautaire : le point de vue des diplômées de la section santé communautaire d'une école d'enseignement infirmier

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Abstract

Conscientisée durant mon parcours de licence en Santé Publique, des modifications attendues ou en cours au sein du système sanitaire, induites en grande partie par la crise des finances publiques, je me suis intéressée à l’influence possible de ces transformations sur la pratique infirmière.
Ces modifications permettent l’ouverture de perspectives intéressantes pour la profession et renforce le rôle d’éducation à la santé de même qu’il affirme la portée sociale du soin.
Considérant les modifications du système de santé évoquées ci-avant comme étant principalement :
- Une utilisation plus restreinte ou plus efficiente de l’hôpital, se traduisant pas la réduction de la durée de séjour hospitalier,
- la dispersion des services de convalescence dans divers lieux, le recours à des structures sanitaires plus légères et le recours aux ressources communautaires ou familiales justifiées par le coût moindre et la reconnaissance du désir et de la capacité des individus à se prendre en charge.
- la tendance à encourager la volonté de plus en plus affirmée de vivre dans leur milieu naturel et la capacité de ce milieu à les prendre en charge.
- l’émergence d’un discours et d’initiatives traduisant la valorisation de l’autonomie et la responsabilité des citoyens et de la communauté,
ma question était de savoir si elles portaient des possibilités de transformation dans la manière de dispenser des soins infirmiers, traditionnellement encore dominés par les théories bio-médicales, malgré un attachement naturel des infirmiers à une vision plus holistique de la personne.
A cette interrogation trop vaste et trop globale pour être traitée dans le cadre du mémoire, faisait écho en moi, un intérêt important vis-à-vis de l’orientation prise par la nouvelle formation d’infirmière graduée spécialisée en santé communautaire, crée voilà 6 ans et qui me semblait-il s’inscrivait bien dans le courant de changements énoncés ci-avant.
En 1996, cette formation a remplacé l’ancienne spécialisation d’infirmière graduée sociale dispensée sur 2 années et accessibles après les 2 années de formation de base en soins infirmiers.
A l’époque, étudiants, responsables de stage et infirmières professeur s’accordaient pour dire qu’avec le nouveau titre, l’ambigüité de fonction avec les assistants sociaux allait enfin disparaître pour recentrer la spécialité sur des spécificités propres aux soins infirmiers.
Mais comment allaient s’articuler les principes de soins infirmiers acquis au cours des années de base en soins généraux avec ceux de la santé communautaire, en vue de former des professionnels infirmiers capables d’accompagner et d’encadrer des individus et des communautés dans leur travail d’autonomisation, via le partage de connaissances et d’habilités entre ces professionnels et la population.
IL s’agissait d’une modification importante dans la manière de pratiquer les soins infirmiers.
Basant mon raisonnement sur le fait que lorsque la pratique change en réaction à des modifications de l’environnement ou dans la société, la discipline évolue également. Et actant qu’en tant que discipline professionnelle, les sciences infirmières ne se préoccupent pas seulement d’élaborer des connaissances mais qu’elles doivent également juger de l’utilité de ce qu’elles connaissent et de l’utilisation effective de ce savoir, je décidai de réaliser un travail de recherche relatif à la nouvelles discipline que représente les soins infirmiers en santé communautaire.
Je focalisais mon attention sur le domaine de la formation parce qu’elle est au cœur des préoccupations, des tenants et aboutissants de la professionnalisation de la discipline infirmière et que par rapport à l’émergence d’une nouvelle spécialité, elle est un enjeu de taille quant à la reconnaissance sociale de cette nouvelle spécialité.
Après avoir rencontré l’ensemble des infirmières-professeurs des 6 écoles dispensant la formation, en communauté française, et avoir évoqué avec elles, différentes problématiques autour de la formation des infirmières graduées spécialisées en santé communautaire ; je ciblais mon choix de recherche vers une analyse des besoins de formation exprimées par les diplômées de la section santé communautaire, en rapport avec leur pratique professionnelle.
Je choisissais d’interroger les professionnels infirmiers de ce secteur que je considérais comme les premiers acteurs et les témoins privilégiées des changements intervenus au sein de la nouvelle spécialité.
J’effectuais ce choix en m’appuyant sur le fait que la discipline infirmière étant une discipline professionnelle, la pratique en est la raison d’être et alimente son développement.
Je posais que mon objectif de travail était de légitimer ou motiver certaines actions d’enseignement voir proposer de nouvelles façons de faire, à partir d’une mise en perspective par les professionnels, de leur formation antérieure en santé communautaire, avec les exigences de leur pratique actuelle dans ce domaine.
A l’origine, je souhaitais procéder à une analyse de type macro social et interroger un échantillon représentatif des quelques 300 diplômés de la section santé communautaire, toutes écoles confondues.
Certaines infirmières professeurs craignaient qu’il soit impossible de faire apparaître des conclusions communes pertinentes pour les formations proposées par les 6 écoles.
Respectant leur point de vue, je devais me résoudre à interroger les diplômées des promotions 1996-1997 à 2000-2001 d’une seule école.
Mon choix se portait sur les anciens étudiants de l’ISEI à Woluwé soit quelques 80 individus auxquels je soumettais un questionnaire orienté autour de 4 grands axes : l’activité actuelle, le profil professionnel, les compétences et la formation.

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